J'ai lutté alors de tout mon temps, de toute mon énergie, dans deux combats aventureux que je jugeais parallèles, celui de l'espoir en la renaissance de l'Europe, celui de l'espoir ouvrier.
Mais c'était aussi le temps de la guerre froide, de la peur atomique, des lendemains désenchantés et chaque pas dans l'avenir se gagnait contre des certitudes mortes.
Je vivais durement la devise que l'on prête au « Taiseux »: « il n'est pas nécessaire de croire pour entreprendre ni de réussir pour persévérer
My father 1962
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