J'essaie de rester en contact où que je sois
Je ne dis pas je t'aime Je ne dis pas que j’ai réussi Le soleil apparait dans la lucarne Mon travail m’appelle aussi doux que le bruit du ruisseau près de la cabane dans le Tennessee J’écoute à mon bureau et je suis disposé à pardonner à ceux qui ont voulu nous écraser avec leurs merveilleux systèmes Ta beauté est partout que nous avons distillée ensemble dans les temps difficiles Tu ne me sentiras jamais vouloir te diriger Je fuis à jamais ton hommage Je ne pense pas à te mettre des fers Je n’ai rien dans l’esprit pour toi Je n’ai pas de prières où t’enfermer Je vis pour toi sans le souvenir de ce que tu mérites où ne mérite pas Léonard cohen |
lundi 18 février 2013
Ce monde que ma tendresse
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